American Horror Story
À chaque saison, son histoire. American Horror Story nous embarque dans des récits à la fois poignants et cauchemardesques, mêlant la peur, le gore et le politiquement correct. De quoi vous confronter à vos plus grandes frayeurs !
En cours | Américaine, US | Pas de durée |
Drame, Epouvante-Horreur, Drama, Horror, Thriller, Mystere, Science-Fiction & Fantastique | FX, Ciné+ Frisson | 2011 |
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1 avis neutre
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8.08 - La Maison Du Diable
Sojourn
Michael découvre les cadavres de ses alliés et est recueilli par un groupe de sataniste. Il rencontre par la suite Jeff et Mutt, deux ingénieurs spécialisés dans la robotique...
Diffusion originale : 31 octobre 2018
Diffusion française :
31 octobre 2018
Réalisat.eur.rice.s :
Bradley Buecker
Scénariste.s :
Josh Green
Guest.s :
Carlo Rota
,
Sandra Bernhard
,
Billy Eichner
,
Harriet Sansom Harris
,
Dominic Burgess
,
Kingston Foster
,
Cole Stratton
,
Roger Hewlett
,
Alman Bilal
,
Lauren Mungo
,
J.T. Sherwood
,
Tice Proctor
,
Megan Davis
,
Gloria Laino
,
Jim Deangelo
,
Rachael Drummond
,
Garrett Westton
,
Ashley Santos
,
Jon Jon Briones
Sans aucun doute le moins bon épisode jusque là. Le ton parodique du culte de Satan fonctionne plutôt bien (la prêtresse est fun), mais tout un épisode sans Apocalypse en vue, sans sorcières/sorciers, entièrement centré sur Michael et qui n'a pour but de répondre qu'à une question ("comment Mrs. Mead est devenue robot ?"), ça fait un peu beaucoup...
Voir Mrs. Venable apparaître avant l'apocalypse fut la vraie bonne idée de l'épisode, faisant le lien entre l'avant et l'après Apocalypse. D'ailleurs, tout l'épisode gagne du poil de la bête quand on montre pour la première fois la "Cooperative" avec Paulson en Venable, Evan Peters, etc.
Cela reste un épisode tellement inscrit dans une bonne saison que forcément, il y a de bonnes choses. J'adore Harriet Sansom Harris, l'actrice qui incarne la nouvelle amie de Michael membre du culte (qui jouait super bien dans Desperate Housewives).
Mais le début était quand même super longuet, certaines scènes sont des délires un peu sans aucun sens (Michael qui hallucine, les dernières scènes de la secte satanique où tout le monde vénère Michael pour sa marque de naissance éclatée). Les trois quarts de cet épisode (heureusement assez court, à peine 38 minutes) le rendent plus anecdotiques qu'autre chose.
Allez petit carambolage sur le parcours, c'est pas grave, on oublie et on poursuit !